salut fanarium oui c'est sur (enfin techniquement il ai pas encore en place mais bon sa ne serai tarder )
Aggressive Predators Platy
Nombre de messages : 59 Date de naissance : 04/09/1977 Age : 47 Localisation : lyon Date d'inscription : 01/07/2011
Sujet: LE GILL CURL OU SYMPTOME DE L'OPERCULE DECOLLE Ven 30 Sep 2011 - 8:16
Habituellement, nous voyons cela avec les gros poissons (prédateurs ou autres), comme le barracuda et arowana. Ce symptone est généralement causée par la qualité médiocre de l'eau et une mauvaise oxygènation dans l'aquarium .
Le gill curl touche habituellement les poissons logés dans de trop petit aquarium, qui conduit à un manque d'oxygène et une mauvaise qualité de l'eau.
le gill curl c'est une déformation des branchies. À la phase 1, la partie molle des branchies ressort de la plaque branchiale rigide et devient visible à l'oeil. en phase plus avancée, c'est toute la partie dure de la branchie qui retrousse et qui donne une impression comme si le poisson avait les opercules décollées.
voici un cas leger
un cas de 2 phases (bien plus avancé)
Pour éviter cela, maintené vos poissons dans un aquarium avec une filtration adéquate et restez sur une maintenance soutenue pour maintenir une bonne qualité d'eau.
il est possible de voir arriver des spécimens sauvages souffrant de gill curl suite au transport dans une eau souillée.
en phase 1 le gill curl n'a que des répercutions d'ordre esthétique .
en phase 2 Il est possible d'intervenir sur cette malformation à l'aide de ciseaux .
voici quelques videos de l'opération facilement réalisable
un petit article ... http://arowanaclub.com/ClubArticles/WanHu/GillCut.htm ...
photo , source google texte combichrist merci pour ton lien que j'ai traduis et merci à leg89 de p.fr ... http://www.piranhas-fr.com/forum/index.php ... car il me manquait des parties de textes
Le poisson tigre (Tigerfish) fait partie de la famille des characidés, Gros poisson ressemblant à une truite de couleur grise avec des traits longilignes noirs. Bouche munie de grosses dents.
Nom scientifique Hydrocynus goliath Descripteur (Boulenger, 1898) Famille Alestidés Synonyme(s)ou Nom(s) commun(s)
représentés dans le Nil, les lacs et les fleuves de l'Afrique tropicale et subtropicale (bassin du fleuve Congo, rivière Lualaba , du lac Upemba, et le lac Tanganyika)
La présence d'Hydrocynus goliath dans le sud du lac Tanganyika est en effet sujet à discussion. D'après G.W.Coulter et son article du 02/02/1965, ce serait un nouvel immigrant. La rivière Lukuga est la seule partie du lac reliée avec le fleuve Congo dans laquelle le goliath vit habituellement .
C'est le cousin africain du Piranha. Par la puissance et la rapidité de sa nage, il surclasse les autres poissons des eaux douces africaines. Il peut atteindre un poids considérable, mais les deux plus gros, à ce jour, pesaient 43 kg et 40 kg 200. Il peut atteindre 70 kg.
Il est exclusivement carnivore. C'est un poisson osseux truffé d'arêtes et le roi des poissons de sport d'Afrique centrale. Sa mâchoire puissante comporte généralement 32 dents bien visibles sur une mâchoire décharnée (mise à nu ou en squelette) : c'est à dire 14 dents sur la mâchoire inférieure et 18 dents sur la mâchoire supérieure.
Il arrive que certains aient 34 dents: 20 sur la mâchoire supérieure et 14 sur la mâchoire inférieure. Mais, étant donné le développement des gencives sur une mâchoire fraîche, les petites dents placées à l'extrémité de l'articulation ne sont presque pas visibles et on ne peut voir que 10 dents sur la mâchoire supérieure et 8 dents sur la mâchoire inférieure. Certains goliath dont les plus grandes dents atteignaient plus de trois centimètres de long. C'est généralement la deuxième dent de la mâchoire supérieure qui est la plus longue. Les dents sont situées fort en avant sur la mâchoire, pratiquement démunie de lèvres, elles sont tranchantes sur les bords et produisent des sections nettes comme deux couteaux agissant en sens inverse l'un de l'autre. Grâce à cet emboîtement, le poisson tigre, en fermant la bouche, parvient à sectionner des poissons aussi grands que lui. Que le Poisson Tigre goliath ait la bouche ouverte ou fermée, 18 dents sont toujours apparentes. C'est cela qui lui donne une physionomie vraiment diabolique. Il possède, comme le requin, des dents de remplacement : celles-ci sont situées en arrière des dents en fonction, dans des cavités creusées dans l'épaisseur de la mâchoire. D'après les villageois, c'est le seul poisson qui ne craint pas le crocodile. Il arrive parfois qu'un petit crocodile s'aventure trop loin du bord et soit carrément coupé en deux. Les oiseaux aquatiques se font mordre quelquefois aussi mais ils attaquent rarement l'homme. On peut voir distinctement la différence entre une morsure d'un goliath, qui est nette et propre, comme une vraie découpe de bistouri, et celle du crocodile. Ce dernier prend sa proie, secoue sa gueule en la maintenant, ou s'enroule autour pour lui arracher des lambeaux de chair et l'entraîne avec lui la plupart du temps, ce que le goliath ne fait pas.
En aquarium :nono: (il faut en parler)
•PH optimal: ◦6,5 à 7,5
•Gh optimal: ◦10 à 25°d
•Température idéale: ◦23 à 26°C
Jusqu'à 18 cm ils peuvent être élevés en groupe mais au-delà il faut les séparer.Agressif et mordant. Animaux exceptionnellement voraces pratiquement insatiables. Se nourrit uniquement de viande et de poisson. Vivent dans des eaux à courant très rapide ainsi que dans des zones plus calmes. Excellents sauteurs.
Comportement:
◦Le tigre goliath a la distinction quelque peu singulière d'être le seul poisson d'eau douce africain connu pour attaquer les humains (il y a eu plusieurs incidents sur le fleuve Congo et quelques cas de décès enregistrés). Inutile de préciser que sa maintenance ne peut être envisagée que de façon trés professionelle et dans un énorme volume d'eau. Il n'y a aucun besoin de tout décor sauf peut-être une base sablonneuse en raison de la vitesse et la puissance de ces poissons. L'eau devrait être de la plus haute qualité et bien oxygénée.
•Espace vital en captivité: ◦15 000 Litres (excellente filtration et aération, couvercle sécurisé)
•Reproduction: ◦Hydrocynus goliath est difficile à sexer, les femelles peuvent avoir un ventre plus large que les mâles. Sa reproduction n'a jamais été réalisée en aquarium.
•Régime alimentaire: ◦Carnivore (piscivore) strict qui ne s'alimente que de nourriture vivante, Hydrocynus goliath peut être habitué à d'autres aliments tels la viande de coeur de bœuf ou de grosses crevettes, mais cela risque de prendre du temps.
un peu de lecture ... http://www.planetflyfishing.com/media/destinations/zambie/ZAMBIE_-_POISSON_TIGRE_2010FF.pdf
Salut Voici le doc complet "Sharkwater" ce documentaire (film) choc met en cause le pouvoir de destruction dont l'homme est capable , pour l'argent. le trafic d'ailerons de requins est le seul à pouvoir égalé le trafic de drogues .
Voilà un requin plutôt atypique qui a fait parler de lui ces derniers temps : le requin lézard. Véritable fossile vivant, il a été observé pour la première fois en vie il y a quelques années en 2007 par des chercheurs japonnais qui en ont capturé un spécimen. La femelle est malheureusement morte au bout de quelques jours de captivité, peut-être à cause de la variation de pression. En effet, ces requins vivent à des profondeurs abyssales (de 120 à 1280 mètres) d'où la difficulté de bien les connaître.
Le requin lézard (ou requin à collerette) peut mesurer jusqu'à deux mètres. Il est pourvu de 6 paires de fentes branchiales et est ovovivipare. Son corps très allongé évoque celui d'une anguille (d'où son nom scientifique). Contrairement à beaucoup de requins, il n'a qu'une seule nageoire dorsale qui est proche de sa nageoire caudale. Cette particularité semble indiquer qu'il vit en permanence près du fond. Son régime alimentaire est surtout constitué de céphalopodes et de poissons benthiques (vivant sur le plateau continental). On le trouve surtout vers l'Afrique du Sud, le Japon, la Nouvelle-Zélande, la Californie et le Chili.
Localisation :
Il nous reste beaucoup de choses à savoir sur ce requin à l'allure si inhabituelle mais les récentes découvertes à son propos nous ont déjà éclairé sur son mode de vie.
Dimanche dernier (21 janvier 2007), un pécheur Japonais a dû avoir la peur de sa vie lorsqu’il a vu émerger cette drôle de bestiole ! On pourrait croire qu’on nos fonds marins ont déjà été envahis par des aliens, mais non, pas encore…
Il s’agit en réalité d’une femelle « Chlamydoselachus anguineus », appelé également ‘Requin Lézard’ en Français, qui mesure 1,6 mètre. Recueilli par le parc Awashima de Shizuoka, au sud de Tokyo, ce squale, qualifié de ‘fossile vivant’ étant donné le peu d’évolution de l’espèce depuis la préhistoire, vie habituellement dans des profondeurs situées entre 600m et 1.000 mètres.
Malheureusement, ce requin est mort quelques heures après sa capture. « Nous pensons qu’il est venu vers la surface parce qu’il était malade, ou alors qu’il était affaibli parce qu’il était dans des eaux peu profondes» a déclaré un responsable du parc Awashima.
Description :
Les six fentes branchiales qu'il porte de part et d'autre de la tête l'identifient comme un requin. Étrangeté : Contrairement aux autres requins, ses narines sont situées sur le dessus de sa tête, qui ressemble à celle d'un serpent. Sa nageoire dorsale est petite et très reportée en arrière. La nageoire anale est importante. La caudale est très asymétrique, la partie supérieure quasiment inexistante. Ses quelque 300 dents sont petites, tricuspides (en forme de trident) et très acérées.
Cette espèce peut atteindre 2 m de long, mais généralement sa taille est comprise entre 50 et 70 centimètres. Il est de couleur grise ou brune sombre.
Biologie :
Chlamydoselachus anguineus est une espèce que l'on peut qualifier de fossile vivant (le terme d'espèce panchronique étant plus adapté, en effet le terme de "fossile vivant" suppose un arrêt total de l'evolution de la dite espèce, or ceci est faux), qui n'a pas changé depuis des millions d'années. Elle a une aire de répartition très large mais discontinue. Les prises les plus fréquentes concernent les eaux de l'archipel nippon. Le régime alimentaire est majoritairement à base de calmars des grandes profondeurs. Espèce des profondeurs, le requin-lézard se rencontre entre 120 et 1280 m de fond, rarement en surface. Son observation est donc très difficile. C'est une espèce ovovivipare à la reproduction lente avec des portées de 2 à 12 petits. La durée de gestation est estimée à 3 ans et demi .
Actualité :
Certains spécimens ont été attrapés à la palangre mais voir des requin-lézards vivants est rare. En filmer un est exceptionnel.
Le 23 janvier 2007, le personnel du parc marin d'Awashima à Shizuoka, au sud de Tokyo, a été alerté par des pêcheurs et a pu filmer un spécimen vivant identifié comme une femelle Chlamydoselachus anguineus3. Probablement malade il est mort quelques heures après, l'animal devait être souffrant et désorienté .
et un autre petit tour du coté des océans tropicaux
LE GRAND REQUIN MARTEAU
Grand requin-marteau
Le grand requin-marteau (Sphyrna mokarran) est une espèce de requin-marteau qui vit dans les océans tropicaux et quelques mers. Il hérite des caractéristiques des requins-marteaux en particulier par les larges extensions aplaties de sa tête qui donnent à ces poissons une large portance et leur permettent de prendre des virages plus serrés que les autres requins. Cependant le grand requin-marteau est immédiatement reconnaissable par sa nageoire dorsale particulièrement développée. Le grand requin-marteau peut atteindre une taille de 5,5 mètres.
Localisation:
Ce requin pélagique et parfois côtier se trouve dans tous les océans tropicaux ainsi qu'en Mer Rouge et en Méditerranée. Il évolue entre la surface et 100 mètres de fond.
Mode de vie :
Le grand requin-marteau est un animal le plus souvent solitaire. Son activité est essentiellement nocturne. Le grand requin marteau peut vivre jusqu'à environ 37 ans.
Reproduction :
Chez les requins-marteaux, la gestation est vivipare et plus longue que celle de l'humain : elle varie de 9 à 12 mois. La femelle peut avoir dans son ventre de 10 à 40 embryons de requins. Ils mesurent environ 60 cm à la naissance. La reproduction reste très mystérieuse, car il est très difficile de pouvoir l'observer.
Une étude a été réalisée sur cette espèce entre 2001 et 2007. C'est dans un zoo du Nebraska aux États-Unis qu'une femelle requin marteau avait mis bas d'un requin, seule. L'étude de l'ADN a confirmé le fait que cette naissance était issue de la parthénogenèse, reproduction asexuée pour la première fois observée chez le requin.
Alimentation :
Le grand requin-marteau se nourrit de poissons osseux mais également de raies et de requins. La raie léopard est l'une de ses proies favorites. Accessoirement ce requin se nourrit également de crustacés et de céphalopodes.
Particularités :
Le grand requin-marteau est immunisé contre le venin des raies, c'est aussi l'un des requins les plus sensibles à l'électricité. Ses cellules sensorielles sont capables de détecter des variations inférieures à 5 µV/cm. Malgré le danger qu'il représente compte tenu de sa taille, les pêcheurs de perles polynésiens ne sortent pas de l'eau en sa présence.
Conservation :
Cette espèce de requin est en danger d'extinction et a été inscrite sur la liste rouge de l'UICN en juin 2004.
Une possible nouvelle espèce proche de Sphyrna lewini a été découverte en 2006 dans les eaux au nord-ouest de l'océan Atlantique, mais n'a pas encore été nommée et classifiée. Son découvreur, le professeur Joe Quattro de l'Université de biologie de Caroline du Sud, la décrit comme cryptique1.
Le requin marteau est connu, bien sûr, par sa tête aplatie et élargie lui donnant une meilleure efficacité de ses sens. Les dents sont caractérisées par une cuspide centrale robuste, finement denticulée, et un talon élargi de part et d'autre de la couronne.
Grand requin marteau actuel, dent latérale supérieure, plus grande dimension 21mm.
Et pour finir un petit peu de reproduction chez les squales
un petit lien pour y mettre quelques lignes ...
http://www.dinosoria.com/reproduction_requin.htm
Les requins sont sexuellement dimorphes, c’est-à-dire qu’il existe des différences visibles entre les mâles et les femelles. Les mâles, comme celui de la photographie, possèdent des ptérygopodes (nageoires pelviennes modifiées) pour introduire le sperme dans la femelle.
Les ptérygopodes sont durcis par le cartilage calcifée. La présence ou l’absence de ptérygopodes facilite la détermination du sexe du requin. Les mâles possèdent aussi une paire de testicules; cependant, le droit est toujours plus développé que le gauche, qui peut être plus petit ou tout simplement absent.
Les testicules sont internes; ils sont situés près des reins. Les tractus urinaire et reproductif se rejoignent pour former le sinus urogénital, d’où le sperme est libéré dans le sillon d’un ptérygopode, qui est introduit dans la femelle lors de la copulation.
Les femelles ne possèdent pas de ptérygopodes; elles ont à la place un cloaque qui ouvre entre les nageoires pelviennes. Les ovaires, internes, sont pairs, mais, tout comme pour les testicules des mâles, le gauche est généralement plus petit; en réalité, l’ovaire gauche produit très peu d’œufs, ou même aucun.
Une fois les œufs fécondés, une membrane ou coquille cornée se forme autour de chaque œuf. Chez certains requins, la membrane est dure et protège les jeunes, tandis que chez d’autres requins, la membrane est mince et vestigiale. Dans le dernier cas, les jeunes se développent et éclosent dans la section utérine de l’oviducte. Les œufs et les oothèques (sacs ovigères) diffèrent grandement selon les espèces; le diamètre des œufs peut être de 60 à 70 mm et les oothèques peuvent mesurer jusqu’à 300 mm de longueur. Ces sacs peuvent avoir la forme d’une fusée ou d’un sac à main, et porter des vrilles et des crochets.
Durant la copulation, les requins sont face à face. Sur la photographie, on peut voir le mâle introduire un de ses ptérygopodes dans le cloaque de la femelle. Le sperme, contenu dans des capsules appelées spermatophores, est introduit dans la femelle par un sillon du ptérygopode. Les spermatophores sont éjectés avec force par des sacs musculaires qui se contractent et produisent des courants d’eau.
Une autre différence marquée entre les requins mâles et femelles est l’épaisseur de la peau. Ens quelques espèce (comme le requin bleu), la peau de la femelle est deux fois plus épaisse que celle du mâle; on pense que c’est une mesure de protection contre la violence de l’accouplement: les mâles mordent souvent avec force les femelles durant la copulation face à face, et sans cette épaisseur cutanée supplémentaire les femelles seraient gravement blessées.
Le comportement de copulation des requins peut être très complexe, et on pense qu’il existerait une certaine sélection des partenaires chez certaines espèces. Les sexes vivent souvent séparés et ne se mêlent que pour s’accoupler. Lors de l’accouplement, des rassemblements peuvent se former. Par exemple, on voit des requins-pèlerins nageant en formation circulaire, comme sur l’image. Le but exact de ce comportement est inconnu; cependant, on est certain qu’il est relié à l’accouplement.
Développement
Les requins ont trois modes de reproduction. En général, la plupart des requins mettent bas des petits tout formés, mais certaines espèces pondent des œufs. Le mode de reproduction le plus fréquent est la viviparité: les embryons sont nourris et grandissent dans l’utérus de la mère. La nutrition de l’embryon peut être assurée par une sécrétion appelée lait utérin ou par un placenta.
Le requin-marteau sur l’image est un exemple de développement vivipare. Le placenta de ce fœtus devait être relié à la paroi utérine de la mère.
Le deuxième mode de reproduction est l’ovoviviparité, qui ressemble à la viviparité, car les œufs sont fécondés, éclosent et grandissent à l’intérieur de la femelle. Cependant les embryons ne sont pas nourris directement par la mère, à l’exception de l’apport initial au moment de la formation de l’œuf. Chez certaines espèces, les jeunes peuvent obtenir leurs substances nutritives en mangeant les œufs nouvellement formés, les embryons plus petits et moins développés ou leurs frères et sœurs. Ce phénomène est appelé oophagie.
Exemple de développement ovovivipare. Notez la vésicule vitelline qui ressemble à un gros ventre distendu accroché sous l’embryon de requin-taupe commun.
embryon de aiguillat noir
Le troisième et dernier mode de reproduction est l’oviparité; les requins pondent leurs œufs dans des oothèques et les libèrent dans l’océan sans aucune protection ou nourriture. Les œufs, comme ceux de cette image, font l’objet de prédation, car ils doivent grandir sans aide parentale.
Sac ovigère d'une rousette de profondeur
Embryon d'une rousette de profondeur à l'intérieur du sac ovigère. À noter la grande vésicule vitelline qui nourrit l'embryon pendant qu'il se développe dans le sac ovigère.
Colossoma macropomum ou Tambaqui, giant black pacu ou Cachama. (Cuvier, 1816)
Colossoma macropomum
Le Colossoma macropomum est une espèce de poisson d'eau douce de la famille des Characidae que l'on rencontre dans le bassin amazonien (Bolivie, Colombie, Brésil, Pérou et Venezuela).
Cette espèce au corps noir peut atteindre un mètre de long et vivre 40 ans. C'est un omnivore saisonnier: à la saison des pluies ils consomment des graines (riz sauvages pour les juvéniles), des noix et des fruits qu'il écrase à l'aide de ses puissantes mâchoires, en saison sèche il devient plus omnivore, les juvéniles filtrent l'eau à l'aide de ses branchiospines pour capturer du plancton.
Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Super-classe Osteichthyes Classe Actinopterygii Sous-classe Neopterygii Infra-classe Teleostei Super-ordre Ostariophysi Ordre Characiformes Famille Characidae Genre Colossoma Nom binominal Colossoma macropomum
Metynnis hypsauchen (Müller & Troschel, 1844)
De la sous-famille des Serrasalminae, Metynnis hypsauchen a, apparemment, une distribution inégale dans certaines parties de la Guyane, le Brésil, le Pérou et la Bolivie. Il a été enregistré à la fois dans le bassin de l'Amazone et le Rio Paraguay, ainsi que certaines rivières du Nord de ce qu'on appelle le Bouclier Guyanais. Son habitat est constitué par des zones affluentes densément plantées.
Synonyme(s) et nom(s) communs
Metynnis calichromus (Sci) Metynnis ehrhardti (Sci) Metynnis schreitmuelleri (Sci) Myletes hypsauchen (Sci) Metynnis à grosse tête (Fra) Silver dollar (Ang)
Classification
Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Super-classe Osteichthyes Classe Actinopterygii Sous-classe Neopterygii Infra-classe Teleostei Super-ordre Ostariophysi Ordre Characiformes Famille Characidae Genre Metynnis Nom binominal Metynnis hypsauchen
Metynnis luna Cope, 1878
Divers noms lui sont attribué notamment Palometa au Pérou. Red spotted silver dollar aux USA.
Sa particularité est de filtrer le phytoplancton de l'eau pour se nourrir.
Metynnis orinocensis (Steindachner, 1908)
Metynnis Orinocensis sont communément appelés les Orinoco Silver dollars River.
Ils se trouvent en Amérique du Sud : dans le bassin de la rivière Orinoco .
Myleus asterias (Müller & Troschel, 1844)
Asterias myleus sont communément appelés les Pacu orange tachetée .
Le Myleus asterias est un poisson d’une taille de 25 cm originaire du bassin de l’Amazone et des rivières du Nord-Est de la Guyane française.
C’est une espèce proche du Myleus rubripinnis, qui vit en bonne entente avec lui dans le Rio Araguari. Les analyses anatomiques montrent qu'il s’agit cependant de deux espèces différentes.
On l’appelle Pacu ou Pacu branco au Brésil.
Classification
Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Super-classe Osteichthyes Classe Actinopterygii Sous-classe Neopterygii Infra-classe Teleostei Super-ordre Ostariophysi Ordre Characiformes Famille Characidae Genre Myleus Nom binominal Myleus asterias Myleus schomburgkii (Jardine, 1841)
Myleus schomburgkii sont communément appelés tetras disque ou Myleus à bande noire.
Le Myleus schomburgkii est un poisson d'une taille de 12 à 15 cm.
Il est originaire du bassin de l’Amazone (moyen et bas), du haut du bassin de l’Orénoque et du Rio Apure au Venezuela, du Rio Xingu, du Rio Negro et du Rio Araguaia au Brésil.
Ses noms communs sont Pacu cadete, Pacu ferrado et Pacu jumento au Brésil.
C’est un poisson argenté, en forme de disque, barré d’une ligne noire sur le flanc. Il vit en banc et a besoin d’espace et de courant. Il est herbivore
Classification
Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Super-classe Osteichthyes Classe Actinopterygii Sous-classe Neopterygii Infra-classe Teleostei Super-ordre Ostariophysi Ordre Characiformes Famille Characidae Genre Myleus Nom binominal Myleus schomburgkii
Myloplus rubripinnis (Müller & Troschel, 1844)
Rubripinnis Myloplus sont communément appelés Myleus Redhook.
Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Super-classe Osteichthyes Classe Actinopterygii Sous-classe Neopterygii Infra-classe Teleostei Super-ordre Ostariophysi Ordre Characiformes Famille Characidae Genre Myloplus Nom binominal Myloplus rubripinnis
Piaractus brachypomus (Cuvier, 1818)
Piaractus brachypomus sont communément appelés Pompano d'eau douce , Pirapatinga ou pacu blanc géant .
Les Brachypomus Piaractus sont très appréciés en tant que source de nourriture par les habitants. Dans l'image vous pouvez voir comment ils «préparent» un brachypomus Piaractus , sur la rive de la riviére Atabapo dans l'Etat amazonien du Venezuela.
Sa taille adulte est de 88 cm; pour un poids maximum rapporté est de 25 kg. Sa longévité est de 28 ans.
Il est originaire des bassins des fleuves Amazone et Orinoco.
La problématique du Piaractus brachypomus :
Ce poisson est vendu en animalerie sous le nom de red pacu, pacu, Colossoma bidens, faux piranha… ou malheureusement trop souvent piranha, et même parfois sous le nom de Serrasalmus nattereri : en effet, il ressemble beaucoup au Pygocentrus nattereri au stade juvénile.
Le red pacu n’est cependant pas carnivore ; dans la nature, il se nourrit de plantes et d’insectes. Les juvéniles sont plus carnassiers, et en prenant de l’âge, deviennent de plus en plus herbivores.